Tu es dehors. C’est l’été. Tu regardes le ciel. Aucun nuage ! Tu as une mission aujourd’hui : tu dois terminer la construction de la terrasse, ton grand balcon. Tu t’accroupis. Tu comptes les planches de bois. Un, deux, trois, quatre. Exactement ce qu’il faut. Parfait ! Tu es content. Tu prends une planche de bois. Oh ! Elle est très lourde. Tu souris, le bois de cumaru est lourd. Il provient d’un grand arbre d’Amérique du Sud.
Tu marches vers l’établi, ta table de travail. Tu déposes la planche sur l’établi. Ouf, tu t’essuies le front. Tu passes la main sur la planche : aucune égratignure. Tu regardes la ligne sur la planche, là où tu dois couper. Tu prends ta scie à main. Tu commences à scier le bois. Oh ! C’est trop difficile. Tu transpires, tu t’essuies le front avec le bras. Le bois de cumaru est dur, trop dur pour la scie à main. Tu changes d’idée. Tu mets tes lunettes de protection, puis tu prends ta scie électrique. Tu coupes la planche sur la ligne. Ah ! C’est beaucoup plus facile avec la scie électrique.
Tu prends une autre planche pour la couper. Et hop ! Aïe ! Sur le front ! Tu te frottes le front, ça fait mal. Tu viens de recevoir un petit morceau de bois. Tu replaces tes lunettes. Tu veux bien te protéger les yeux. Tu coupes la troisième planche et enfin la dernière planche. Voilà ! Tu enlèves les lunettes. Tu transportes une planche. Oh hisse ! Tu la places sur la base de la terrasse. C’est lourd. Tu la déposes. Tu t’essuies le front. Tu veux visser. Tu prends ta perceuse-tournevis. Tu appuies fort, le cumaru est si résistant, si dur. Tu visses toutes les planches. Ça y est ! Tu es content, le plancher est terminé.
Tu marches dessus pour voir s’il est solide. Tu sautes. Oh non ! La perceuse-tournevis est tombée sur la belle planche de cumaru ! Tu te penches, les dents serrées. Tu vérifies si le bois est abîmé. Ouf ! Rien du tout, aucune marque. Tu reprends ton souffle. Il est vraiment résistant. Fiou ! Maintenant, il reste une seule étape. Tu prends un poteau. Oh ! Tu es surpris, il est si léger comparé au cumaru. Tu le lances en l’air et le rattrapes, wouah ! Le poteau est en bois de cèdre, un autre type d’arbre. Snif snif ...Le cèdre est odorant. Mmmm ! Tu aimes cette odeur. Snif snif ...
Tu déposes le poteau de bois de cèdre sur l’établi. Tu dois le couper. Tu prends un crayon. Tu traces une ligne. La mine de ton crayon s’enfonce un peu dans le bois. Le bois de cèdre est tendre, il est mou. Tu prends ta scie à main. Tu scies sur la ligne. Avec une scie à main, ça va vite. Le cèdre est si tendre. Tout à coup, il fait sombre. Tu regardes le ciel. Oh oh ! Il va pleuvoir. Vite ! Tu prends le poteau de cèdre léger. Tu prends le marteau et un clou. Tu enfonces un premier clou. Le clou est entré. C’est facile de clouer dedans.
Tu prends un autre poteau. Vite, vite ! Aïe ! Tu t’es cogné sur le doigt. Ça fait mal ! Tu secoues la main. Tu te regardes la main. Tu as le doigt rouge. Tu essaies d’enfoncer un dernier clou pour finir. C’est difficile avec ta blessure. Tu donnes de petits coups de marteau. Tu fais bien attention. Heureusement, avec le bois de cèdre, le clou entre facilement. Voilà ! Tout est bien fixé. Tu essaies de bouger le poteau. Tout est solide. Tu souris. Tu regardes le ciel. Oh ! La pluie commence à tomber. Vite, les outils !